Type of resources
Available actions
Topics
Keywords
Contact for the resource
Provided by
Years
Formats
Representation types
Update frequencies
status
Service types
Scale
Resolution
From 1 - 10 / 387
  • Le rétablissement du continuum fluvial de la Sélune après l’arasement des barrages permettra la colonisation de l’amont du bassin anciennement inaccessible aux anguilles. Avant l'arasement, deux affluents principaux étaient utilisés par les poissons amphihalins pour leur reproduction, en plus du cours principal : le Beuvron et l'Oir. La population d’anguille de la Sélune a été suivie en phase pré-arasement par des campagnes d’indice d’abondance effectuées en 2013, 2015, 2019 sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du réseau hydrographique de la Sélune. Ces données permettent d’estimer l’évolution de l’abondance des anguilles le long de la Sélune et de ses affluents et leur structuration en taille avant et après la destruction des barrages. L’inventaire est réalisé début septembre, une année sur deux, à l'aide d'un dispositif de pêche électrique et d'épuisettes. Trente points de pêche de trente secondes minimum sont réalisés. Une station de pêche comprend environ 100 mètres de linéaire de cours d’eau. Toutes les anguilles pêchées sont anesthésiées et font l’objet de mesures biométriques (poids, longueur, diamètre oculaire horizontal, vertical, détermination du stade jaune ou argentée). L’ensemble des anguilles est relâché directement sur le site de pêche. Cette couche contient les données individuelles sur les anguilles capturées.

  • Le réseau RMQS repose sur le suivi de 2200 sites répartis uniformément sur le territoire français (métropole et outre-mer), selon une maille carrée de 16 km de côté. L’évaluation et le suivi de la qualité des sols sont fondés sur l’analyse de propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols, associée à la recherche des sources de contamination diffuse et à la connaissance de l’historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site. L’ensemble des prélèvements, mesures et observations réalisés sur un site est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols. La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Le RMQS couvre également les départements d'Outre-mer : après un déploiement en 2006-2007 aux Antilles, la mise en place du RMQS s’est poursuivi à la Réunion, à Mayotte et en Guyane. La première campagne RMQS, axée sur la contamination des sols, a permis de produire un ensemble de données sur les principaux paramètres pédologiques classiques ainsi que les teneurs en éléments traces (ET) et également des polluants organiques persistants. Ce jeu de données se base sur les mesures des sites pour fournir les estimations spatialisées à une résolution de 1000 m des teneurs en 9 ET (As, Cd, Cr, Cu, Hg, Pb, Ni, Th et Zn) produites à l’aide d’un algorithme géostatistique robuste. Cette page traite du Chrome.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Les Pacifastacus capturées sont comptées, sexées et conservées entières au congélateur pour mesures biométriques ultérieures en laboratoire.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Cette couche donne les localisations de ces stations.

  • Le rétablissement du continuum fluvial de la Sélune après l’arasement des barrages permettra la colonisation de l’amont du bassin anciennement inaccessible aux anguilles. Avant l'arasement, deux affluents principaux étaient utilisés par les poissons amphihalins pour leur reproduction, en plus du cours principal : le Beuvron et l'Oir. La population d’anguille de la Sélune a été suivie en phase pré-arasement par des campagnes d’indice d’abondance effectuées en 2013, 2015, 2019 sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du réseau hydrographique de la Sélune. Ces données permettent d’estimer l’évolution de l’abondance des anguilles le long de la Sélune et de ses affluents et leur structuration en taille avant et après la destruction des barrages. L’inventaire est réalisé début septembre, une année sur deux, à l'aide d'un dispositif de pêche électrique et d'épuisettes. Trente points de pêche de trente secondes minimum sont réalisés. Une station de pêche comprend environ 100 mètres de linéaire de cours d’eau. Toutes les anguilles pêchées sont anesthésiées et font l’objet de mesures biométriques (poids, longueur, diamètre oculaire horizontal, vertical, détermination du stade jaune ou argentée). L’ensemble des anguilles est relâché directement sur le site de pêche. Cette couche contient les données individuelles sur les anguilles capturées.

  • Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station. Ce tableau contient les données individuelles sur les lamproies capturées.

  • This raster map is the Digital Elevation Model of the Berambadi watershed

  • Le Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS) est un programme national d’évaluation et de suivi à long terme de la qualité des sols français. Ce réseau repose sur le suivi de 2240 sites représentatifs des sols français et de leurs occupations, répartis sur l’ensemble du territoire français (métropole et outre-mer) selon une grille systématique de 16 km de côté. Les sites recouvrent diverses occupations (grandes cultures, prairies permanentes, forêts, vignes et vergers, milieux peu anthropisés, parcs urbains). Des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols sont mesurées sur chaque site avec une périodicité d’une quinzaine d’années. Ces analyses sont associées à la recherche des facteurs explicatifs de la variabilité spatiale et temporelle des propriétés des sols (variables biophysiques, sources de contamination, historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site). La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Cette campagne, axée sur la contamination des sols, a permis de cartographier les principaux paramètres pédologiques (28 variables) ainsi que les teneurs en 12 éléments traces métalliques (ETM) en extraction totale ou partielle et 70 polluants organiques persistants. L’ensemble des protocoles de prélèvements, mesures et observations réalisés sur chaque site durant cette campagne est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols datant de 2006. Obtention des valeurs : Les cartogrammes produits sont issus des résultats d’analyses de 2146 sites de métropole, répartis sur 2146 cellules, mis en œuvre lors de la première campagne RMQS (2000 -2009). Les analyses ont été réalisées sur des échantillons composites prélevés à la tarière selon 2 couches de prélèvements (0-30 cm ou épaisseur de la couche travaillée en sol cultivé appelée composite de surface ou composite 1 et la couche sous-jacente jusqu’à 50 cm, appelée composite de sub-surface ou composite 2). Chaque échantillon composite a été constitué à partir du mélange de 25 prélèvements individuels prélevés sur une surface d’échantillonnage de 400 m² selon un plan d’échantillonnage aléatoire stratifié (voir description dans le manuel du RMQS, 2006). Une troisième couche de prélèvement issue d’échantillons composites a pu être constituée en forêt ou en prairie, à partir des horizons holorganiques (correspondant aux horizons pédologiques OF et OH) lorsque ces horizons étaient suffisamment épais (au moins 1 cm) et continus sur la surface d’échantillonnage. Les cartogrammes sont une représentation géographique des teneurs réelles (concentration en unité de mesure par masse de sol séché à l’air) mesurées pour le paramètre cité, en chaque point du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS), lors de la première campagne (2000-2009). Les analyses de sol ont été réalisées par le Laboratoire d’Analyses des Sols de l’INRA d’Arras au fil de la campagne, de 2002 à 2011, au fur et à mesure du déploiement du réseau, et pour certains paramètres, a posteriori, sur les échantillons stockés au Conservatoire Européen des Sols. Les cartogrammes n’ont pas été constitués avec les coordonnées réelles des dispositifs de prélèvement, conformément au cadre juridique actuellement en vigueur et pour répondre à notre engagement d’anonymisation des données. Le jeu de données fournies associé à ces cartogrammes comportera les coordonnées du centre de la maille, appelées coordonnées du centroïde ou encore coordonnées théoriques. Un tableau de métadonnées associé au jeu de données (accessible via les liens ci-dessous) détaille pour chaque paramètre représenté, la méthode d’analyse, l’unité, le seuil de détection et l’incertitude analytique associée à l’analyse fournie par le LAS.

  • Les flux hydrologiques, sédimentaires fins et grossiers, et chimiques sont fortement impactés par la présence des barrages, alors que ces paramètres jouent un rôle majeur sur la qualité des habitats pour les communautés aquatiques. leur suivi sur le long terme est primordial dans le cadre d’une opération de restauration écologique après effacement de barrages. De plus sur la Sélune, le démantèlement s’accompagne d’une gestion spécifique des sédiments pour éviter un transfert massif de sédiments vers l’aval. Le transport des sédiments grossiers est étudié à l’aide de galets marqués par des transpondeurs passifs (pit tags). Ces pit tags ont été introduits dans plusieurs centaines de galets de différentes tailles du fleuve. Leurs déplacements au cours du cycle hydrologique sont suivis à l’aide d’une antenne que l’on déplace manuellement en parcourant la rivière, à raison d’une campagne par an. Cette couche donne les localisations des secteurs d'étude utilisés dans le suivi du transport des sédiments grossiers.

  • Le Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS) est un programme national d’évaluation et de suivi à long terme de la qualité des sols français. Ce réseau repose sur le suivi de 2240 sites représentatifs des sols français et de leurs occupations, répartis sur l’ensemble du territoire français (métropole et outre-mer) selon une grille systématique de 16 km de côté. Les sites recouvrent diverses occupations (grandes cultures, prairies permanentes, forêts, vignes et vergers, milieux peu anthropisés, parcs urbains). Des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols sont mesurées sur chaque site avec une périodicité d’une quinzaine d’années. Ces analyses sont associées à la recherche des facteurs explicatifs de la variabilité spatiale et temporelle des propriétés des sols (variables biophysiques, sources de contamination, historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site). La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Cette campagne, axée sur la contamination des sols, a permis de cartographier les principaux paramètres pédologiques (28 variables) ainsi que les teneurs en 12 éléments traces métalliques (ETM) en extraction totale ou partielle et 70 polluants organiques persistants. L’ensemble des protocoles de prélèvements, mesures et observations réalisés sur chaque site durant cette campagne est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols datant de 2006. Obtention des valeurs : Les cartogrammes produits sont issus des résultats d’analyses de 2146 sites de métropole, répartis sur 2146 cellules, mis en œuvre lors de la première campagne RMQS (2000 -2009). Les analyses ont été réalisées sur des échantillons composites prélevés à la tarière selon 2 couches de prélèvements (0-30 cm ou épaisseur de la couche travaillée en sol cultivé appelée composite de surface ou composite 1 et la couche sous-jacente jusqu’à 50 cm, appelée composite de sub-surface ou composite 2). Chaque échantillon composite a été constitué à partir du mélange de 25 prélèvements individuels prélevés sur une surface d’échantillonnage de 400 m² selon un plan d’échantillonnage aléatoire stratifié (voir description dans le manuel du RMQS, 2006). Une troisième couche de prélèvement issue d’échantillons composites a pu être constituée en forêt ou en prairie, à partir des horizons holorganiques (correspondant aux horizons pédologiques OF et OH) lorsque ces horizons étaient suffisamment épais (au moins 1 cm) et continus sur la surface d’échantillonnage. Les cartogrammes sont une représentation géographique des teneurs réelles (concentration en unité de mesure par masse de sol séché à l’air) mesurées pour le paramètre cité, en chaque point du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS), lors de la première campagne (2000-2009). Les analyses de sol ont été réalisées par le Laboratoire d’Analyses des Sols de l’INRA d’Arras au fil de la campagne, de 2002 à 2011, au fur et à mesure du déploiement du réseau, et pour certains paramètres, a posteriori, sur les échantillons stockés au Conservatoire Européen des Sols. Les cartogrammes n’ont pas été constitués avec les coordonnées réelles des dispositifs de prélèvement, conformément au cadre juridique actuellement en vigueur et pour répondre à notre engagement d’anonymisation des données. Le jeu de données fournies associé à ces cartogrammes comportera les coordonnées du centre de la maille, appelées coordonnées du centroïde ou encore coordonnées théoriques. Un tableau de métadonnées associé au jeu de données (accessible via les liens ci-dessous) détaille pour chaque paramètre représenté, la méthode d’analyse, l’unité, le seuil de détection et l’incertitude analytique associée à l’analyse fournie par le LAS.